Ce film est la représentation des visions fugitives qu’à un homme allongé sur son lit
de mort. Dans un maelstrom d’images mélangeant diverses techniques d’animation (dessin animé, reprises d’images réelles, animation de photocopies) des visions parcellaires passent brièvement sur l’écran, symbôle de la conscience d’un homme à l’agonie. Réalisé sur un banc titre image par image, c’est le fruit de mois entiers de travail qui donnent l’impression d’une grande perfection visuelle et rythmique, non-narrative et cinématographique.
This film is the representation of a man’s fleeting visions during his last moment of life. Lying on his death bed, he sees a rapid stream of impressions recorded since his birth. In maelstrom of images mixing various
animation techniques (still drawings, real footage animation, photocopy animation, etc…) fragmented
visions pass fleetingly on the screen, symbol of the agonizing man’s consciousness.
Shot on a frame by frame rostrum camera, the film is the fruit of months of painstaking work which leaves
the impression of visual perfection with a non-narative cinematic rythm.
Le plaisir est une amnésie, en plus d’une petite mort.
David Foenkinos
Le mot du producteur
Dana RAYSON est Australienne et à passé deux ans en France pour la fin de ses études de Cinéma. Lors de ce séjour elle a réalisé LA PETITE MORT comme un travail de fin d’études. Avec ce film, totalement expérimental et cinématographique, que nous avons essayé de diffuser partout partout partout … et avons reçu des refus pour la plupart polis et regrettables.
Dana est depuis longtemps rentrée en Australie et travaille là-bas comme graphiste et créatrice d’images de synthèse dans une des meilleures sociétés de Sydney.