Plasticien et réalisateur, chacun de ses talents nourrissant l’autre, Gilles Delmas sillonne le monde, de l’Australie au Japon, de l’Ecosse à la Méditerranée, en y promenant son regard d’artiste, à la fois politique et poétique.

Ce film pose de vraies questions sur la relation homme animal, un hommage aux cérémonies et aux chamans, sur la relation de l’homme à la nature, une réflexion sur l’écologie et l’impact du nucléaire. C’est aussi un portrait, une mise en abîme du travail de Damien Jalet performeur et chorégraphe, c’est un film puissant qui s’accorde très bien avec son temps.

le réalisateur Gilles Delmas à reçu deux Award de IMZ au festival de San-Francisco 2013, ainsi qu’une étoile de la scam pour son précédent film “Les six saisons” sur le chorégraphe Akram Khan. Ce réalisateur – plasticien se positionne il me semble dans les propositions contemporaine de comment « filmer la danse » sous toutes ces formes.

Le parcours de Gilles s’offre aussi à vos propositions multiples autour de la danse, il a aussi exposé dans la salle du prix Nobel de la paix à Oslo l’installation vidéo la Zon-Mai avec Sidi Larbi Cherkaoui que nous avons aussi produit pour le musée de l’histoire de l’immigration à la Porte Dorée. Une rétrospective à la galerie Maeght à Barcelone, des collaborations avec Antony Gormley, Ernest Pignon Ernest, Marina Abramovic, Ryuichi Sakamoto, Jim Hodjes, Nawa Kobei, etc….

Entre documentaire et fiction, onirique et cru, brouillant la ligne entre archaïsme et contemporain, parfois obsédant marqué par le compositeur Ryuichi Sakamoto, est un voyage fascinant à travers les frontières des mondes.

 
 

un joli article consacré au film paru dans Le Figaro par Ariane Bavelier .

Sans doute l’un des plus beaux films de Gilles Delmas
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